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    La légende du capteur de rêves tel que l’on me la raconté dans mon enfance :


    Il y a de cela bien longtemps, aux temps où les hommes et les animaux se comprenaient, une vieille femme vivait seule dans son tipi, enfin pas tout a fait seule puisque Iktomi l’araignée y avait construit à son sommet une magnifique toile qui était visible qu’aux premières lueurs du matin.


    La vieille femme avait une relation très particulière avec Iktomi, cette dernière lui enseigna les cycles de la vie, qui était constitué de l’enfance, l’adolescence, l’âge adulte et la sagesse, cet âge où il est de notre devoir de guider les plus jeunes afin de compléter ce cycle. 


    Tout au long de notre vie il nous faut faire des choix, suivre des chemins parfois difficiles. Nos rêves et nos visions peuvent nous aider à prendre les bonnes décisions, les bons chemins, ceux qui nous mènent vers l’harmonie.


    Iktomi offrit à la vieille femme un merveilleux cadeau, un cadeau qu’elle pourrait à son tour offrir à son peuple, le capteur de rêves, il était constitué d’un cercle de bois fait d’une branche de saule dans lequel Iktomi avait tissé une toile, elle expliqua à la vieille femme que ce petit objet avait un pouvoir très particulier celui de filtrer nos rêves.


    En accrochant le capteur de rêves au dessus du dormeur, tous les songes seront attrapés dans la toile. Les bons rêves passeront par le trou du centre et trouveront leur chemin jusqu’au dormeur en glissant le long des plumes qui nous relient au monde des esprits. Alors que les mauvais rêves resteront prisonniers dans la toile et seront brûlés au soleil levant par les premières lueurs du jour.

     

    La légende du capteur de Rêve...

     

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    Les gens prétendent te connaître mais s’ils savaient.


    S’ils savaient que tu ne montres que ce que tu veux.


    S’ils savaient que tu peux cacher une larme par un sourire.


    S’ils savaient que tu es capable de donner les meilleurs des conseils

      

    mais incapable de les appliquer.


    Ils pensent te connaître en tant que fille forte, souriante,

      

    qui n'a peur de rien et tout le tralala qui va avec.

     

    Mais s’ils savaient que tu es forte le jour parce que tu pleures la nuit,

    que tu es souriante car tu ne veux pas montrer tes douleurs,

    que tu as peur de tellement de choses que tu ne peux plus les compter.


    Les gens pensent te connaître mais au final ils ne savent rien.


    Ils ne connaissent que les conséquences, pas les causes !

     

    Texte trouvé sur le net

     

     

    Libère-toi de tes chaines....

     
     

     

     

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    Ton départ...




     Le jour de ton départ

     

    ton histoire s'est arrêté ,

     
    et les pages de ton livre ont pris leurs

     

    envol avec Toi ...

     

    Mais les souvenirs que tu as laissés 

     


    sont toujours écrits dans

     

     

    le livre de mon coeur.

     

    Ton départ...

     

     

    @maryse31

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    Une larme, c’est la voix de la détresse,

    c’est le bruit de la tendresse ...


    Une larme, c’est un regard qui parle,

    c’est le regret d’une parole...


    Une larme , c’est la rosée du matin,

    c'est la beauté d’un chagrin...


    Une larme, c’est assouvir une tristesse,

    c’est détruire une angoisse...


    Une larme, c’est une étincelle d’amour,

    c'est la flamme de son amour...


    Une larme, c’est la mélodie du cœur,

    c’est l’harmonie du bonheur.


    Une larme, c’est la mélancolie d’une complainte,

    c’est la nostalgie des plainte ...


    Une larme, c’est un soupir de l’âme,

    c’est la souffrance d’un poème...


    Une larme, c’est des vers qui coulent,

    c’est des mots sans teints.


    Une larme, c’est un cri qui s’étouffe,

    C’est un appel qui s’essouffle. 


    Une larme, c’est sourire à la joie,

    c’est le rire de l’émoi.


    Mon arme pour t’émouvoir, une larme...


    À toi de voir……

     

    Johanne Guérin

    Une larme...

     


    @maryse31

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  • Grand-mère...

     

     

    « Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ? »♥️


    Eh bien, vois-tu, j’apprends. J’apprends le petit, le minuscule, l’infini.


    J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne.


    J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée.


    J’apprends le goût de l’instant quand mes mains tremblent, la précipitation

    du cœur qui bat trop vite.


    J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites plus étroites

    qu’avant et à y trouver un espace plus vaste que le ciel.>


    « Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ? »


    J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux, j’apprends avec les nuages.


    J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence.


    J’apprends à garder les yeux ouverts et à écouter le vent.


    J’apprends la patience et aussi l’ennui .


    J’apprends que la tristesse du cœur est un nuage, et nuage aussi le plaisir .


    J’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir et à recommencer

    sans me lasser.


    « Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ? »


    Parce qu’il me faut apprendre à regarder les os de mon visage et les veines de mes mains,


    à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits et le goût précieux

    de chaque journée;

    parce qu’avec l’élan de la vague et le long retrait des marées,


    J’apprends à voir du bout des doigts et à écouter avec les yeux.


    J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres est notre propre bonheur,

    que leurs yeux reflètent dans nos yeux et leurs cœurs dans nos cœurs.


    J’apprends qu’on avance mieux en se donnant la main, que même un corps immobile

    danse quand le cœur est tranquille.


    Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là.


    « Et avec tout ça, pour finir, qu’apprends-tu donc grand-mère ? »


    J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant, j’apprends à être vieille !

     

    Joshin Luce Bachoux...

     

     

    Grand-mère...

     

     

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