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Il était une fois quatre individus qu'on appelait
Tout le monde - Quelqu'un - Chacun et Personne
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à Tout le monde de la faire.
Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait.
Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.
Quelqu'un se fâcha car c'était le travail de Tout le monde !
Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire.
Et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait
En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
Parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire.
MORALITE
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir
Que Quelqu'un le sera à sa place
Car l'expérience montre que
Là ou on attend Quelqu'un,
Généralement on ne trouve Personne !
CONCLUSION
Je vais le transférer à Tout le monde afin que Chacun
puisse l'envoyer à Quelqu'un sans oublier Personne.
Et quel réalisme !!
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Tu n'es peut-être pas son premier, son dernier, ou l'unique.
Elle a aimé avant et elle pourrait encore aimé quelqu'un d'autre.
Mais si elle t'aime maintenant, qu'elle importance ?
Elle n'est pas parfaite.
Tu ne l'es pas non plus, et vous ne le serez pas.
Mais si elle peut te faire sourire au moins une fois par jour,
qu'elle te fait réfléchir à deux fois,
si elle admet n'être qu'un être humain et commettre
des erreurs, ne la laisse pas s'en aller et donne lui
le meilleur de toi-même.
Elle ne va pas te réciter des poèmes, elle ne pense
pas à toi à chaque instant, mais elle te donnera une
partie de sa personne en sachant que tu peux la briser.
Ne la blesse pas, ne la change pas, et n'attends pas d'elle
plus que ce qu'elle peut te donner.
N'analyse pas.
Sourie quand elle te rend heureux, crie quand elle
t'énerve et ressens son manque quand elle n'est pas là.
Aime avec tout ton être quand tu recevras son amour.
Parce que les femmes parfaites n'existent pas,
mais il y aura toujours une femme parfaite
qui sera faite pour toi....
Texte trouvé sur le net
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Il meurt lentement celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à sesyeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur deses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnuIl meurt lentement
celui qui évite la passion et son tourbillond’émotions
celles qui redonnent la lumière dans lesyeux
et réparent les coeurs blessésIl meurt lentement
celui qui ne change pas de cap lorsqu’il estmalheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés.Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !Pablo Neruda
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Ce soir, j’ai envie de toi,
De ton corps et de ta voix.
De respirer très fort ta peau,
Murmurer des mots très chauds.
Me blottir tout contre toi,
Et sentir monter en moi,
Cette chaleur et ce frisson,
Qui deviennent vite "passion".
Fermer les yeux, ne rien voir,
Deviner – Pressentir – Croire.
Sentiments doux, excitants.
Penser – Rêver qu’on est amants.
Comme dans tout ce qui est interdit,
Laisser libre cours à ma folie.
Et croire juste l’espace d’un instant,
Que cela est arrivé, vraiment.
Dans ce grand lit, froid de toi,
J’ai remonté doucement les draps.
Le sommeil est venu remplacer,
Mon doux "rêves réalité".
Texte trouvé sur le net
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