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Dictons du 20 mars
- Une hirondelle ne fait pas le printemps
- Quand il gèle le vingt mars, il gèle toute l’année.
- C’est en mars que le printemps chante et que le rhumatisme augmente
- Printemps secs, étés pluvieux.
- L’automne est une mutation, l’hiver une lutte, le printemps un épanouissement.
- Printemps pluvieux, beaucoup de foin et de blé peu.
- À la Saint-Herbert, bien souvent le soleil brille dans le ciel couvert.
@maryse31
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Dicton du 18 mars
Saint-Cyrille ensoleillé, promesse d'un printemps animé.
À UN ÂGE CERTAIN, le rouge à lèvres vieillit
À UN CERTAIN ÂGE il faut sourire plus souvent pour ne pas être vieux
À UN CERTAIN ÂGE, les jeunes bougent, pour la beauté indescriptible de leurs rêves
À UN CERTAIN ÂGE, vous n'avez pas à cacher votre âge, mais les blessures sur votre cœur
À UN CERTAIN ÂGE, il faut croire en l'avenir plus qu'avant
À UN CERTAIN ÂGE, tu dois planifier comme si tu étais cent ans devant toi
À UN CERTAIN ÂGE, regardez vos rides comme si c'était des perles
À UN CERTAIN ÂGE, soyez sélectif sur les gens autour de vous, mais n'exagèrez pas
À UN CERTAIN ÂGE, apprenez à aimer sans réserve, sans rien attendre
À UN CERTAIN ÂGE, il faut prendre soin de soi, comme si tu étais un objet fragile et précieux
À UN CERTAIN ÂGE, danse, rie, rêve, chante, rebel
Comme si j'étais une petite fille
En fait plus qu'une petite fille
À UN CERTAIN ÂGE, n'attendez pas de pitié de personne, alors soyez miséricordieux avec vous-même
À UN CERTAIN ÂGE, tu dois te relever, tu ne peux pas rester à terre. Ne l'oubliez jamais..
À UN CERTAIN ÂGE...
(auteur inconnu)
Texte trouvé sur le net
@maryse31
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''Je me suis assise un instant au bord de ma vie !J'ai regardé passer les gens qui l'avaient remplie...Il y avait des bons, des gentils et des méchants.Que certains l'avaient comblé de beaucoup de joies,Que d'autres, en revanche, avaient abusé de moi.Fallait il, de ces derniers, regretter leur passage ?Sachant qu'avec eux j'avais fait l'apprentissageDe la méfiance, du mensonge et de la trahison...Et qu'ils avaient été une leçon, me réveillant de mes songes !J'étais assise, sereine et à voir l'ensemble ainsi,Je me rendais compte qu'il ne restait que les bons et les gentils.À regarder dans ma direction avec franchise,Je ne voyais plus les visages de mes méprises.Je me suis levée et vers la franchise j'ai tendu les bras...J'ai, d'un battement de cil, déshumanisé les scélérats !Le regard droit vers le reste de mon chemin,Je me suis prise, pour le reste de la route, par la main,Et j'ai dit :"Viens, on part ensemble vers demain...''Auteur InconnuTexte trouvé sur le net
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