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Nos trop brèves saisons...
Nos visages
Se tissent
Dans le ventre des mères
Et puis se défissent
Dans l’enclos du tempsIls furent soie
Ils furent lisses
En leur gloire pulpeuseIls furent cendres
Ils furent pierre
En leurs dernières moissonsMais l’esprit veille encore
Sur le royaume des rides
Un sourire émaille
Nos trop brèves saisonsAndrée CHEDID
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Commentaires
a toi ma janine
depuis ce matin le soleil me gate
mais quand méme trés frais
tantot je vais aller admirer la mer
cela me fait du bien ,car mauvais moral
passe un bon aprés midi
trés beau poéme
gros bisous