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    Quelqu'un meurt...

     

     

    Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent.


    Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ?

     

     

    Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe.


    Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ?

     

     

    Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque.


    Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ?

     

     

    Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle.


    Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ?  

     

    Benoît Marchon

     

     

    Quelqu'un meurt...

     

     

     

     

     

     

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    Après quelque temps,
    Tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.


    Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer,

    et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.


    Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats,

    ni des cadeaux, ni des promesses…


    Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte,

    et non avec la tristesse d’un enfant.


    Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins,

    parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation

    des projets, et que le futur a l’habitude de ne pas tenir ses promesses.


    Après un certain temps,

    Tu apprendras que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.


    Tu accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois,

    et que tu auras à leur pardonner.


    Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.


    Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance,

    et à peine quelques secondes pour la détruire, et que,

    toi aussi, tu pourrais faire des choses dont tu te repentiras

    le reste de ta vie.


    Tu apprendras que les vraies amitiés continuent à grandir malgré la séparation.

    Et que ce qui compte, ce n’est pas ce que tu possèdes, mais qui compte dans ta vie.


    Et que les bons amis sont la famille qu’il nous est permis de choisir.


    Tu apprendras que nous n’avons pas à changer d’amis,

    si nous acceptons que nos amis changent et évoluent.


    Tu expérimenteras que tu peux passer de bons moments avec ton meilleur ami

    en faisant n’importe quoi, ou en ne rien faisant,

    seulement pour le plaisir de jouir de sa compagnie.


    Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère les personnes

    qui nous importent le plus ;

    et pour cela nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons,

    car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…

    Tu apprendras que les circonstances, et l’ambiance qui nous entoure,

    ont une influence sur nous, mais que nous sommes les uniques responsables

    de ce que nous faisons.


    Tu commenceras à comprendre que nous ne devons pas nous comparer aux autres,

    sauf si nous désirons les imiter pour nous améliorer.


    Tu découvriras qu’il te faut beaucoup de temps pour être enfin la personne

    que tu désires être, et que le temps est court…


    Tu apprendras que si tu ne contrôles pas tes actes, eux te contrôleront.


    Et qu’être souple ne signifie pas être mou ou ne pas avoir de personnalité :

    car peu importe à quel point une situation est délicate ou complexe,

    il y a toujours deux manières de l’aborder.


    Tu apprendras que les héros sont des personnes qui ont fait ce qu’il était nécessaire de faire,

    en assumant les conséquences.


    Tu apprendras que la patience requiert une longue pratique.


    Tu découvriras que parfois, la personne dont tu crois qu’elle te piétinera si tu tombes,

    est l’une des rares qui t’aidera à te relever.


    Mûrir dépend davantage de ce que t’apprennent tes expériences

    que des années que tu as vécues.

    Tu apprendras que tu tiens beaucoup plus de tes parents que tu veux bien le croire.


    Tu apprendras qu’il ne faut jamais dire à un enfant que ses rêves sont des bêtises,

    car peu de choses sont aussi humiliantes ; et ce serait une tragédie

    s’il te croyait, car cela lui enlèverait l’espérance!


    Tu apprendras que, lorsque tu sens de la colère et de la rage en toi, tu en as le droit,

    mais cela ne te donne pas le droit d’être cruel.


    Tu découvriras que, simplement parce que telle personne

    ne t’aime pas comme tu le désires, cela ne signifie pas qu’elle ne t’aime pas autant

    qu’elle en est capable : car il y a des personnes qui nous aiment,

    mais qui ne savent pas comment nous le prouver…


    Il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres,

    parfois tu auras à apprendre à te pardonner à toi-même…


    Tu apprendras que, avec la même sévérité que tu juges les autres,

    toi aussi tu seras jugé et parfois condamné…


    Tu apprendras que, peu importe que tu aies le cœur brisé,

    le monde ne s’arrête pas de tourner.


    Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière.

    Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre

    que les autres te portent des fleurs…


    Alors, et alors seulement, tu sauras ce que tu peux réellement endurer ;

    que tu es fort, et que tu pourrais aller bien plus loin que tu le pensais

    quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer !


    C’est que réellement, la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter....!!!

    (source : si seulement)

     

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    Lettre à mon corps...

    “ Bonjour mon corps,


    C’est à toi que je veux dire aujourd’hui combien je te remercie

    de m’avoir accompagné si longtemps

    sur les chemins de ma vie. Je ne t’ai pas accordé l’intérêt,

    l’affection ou plus simplement le respect que tu mérites.


    Souvent, je t’ai même maltraité, matraqué de reproches violents,

    ignoré par des regards indifférents, rejeté avec des silences pleins de doutes.

    Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi.

    Et aujourd’hui, au mi-temps de ma vie, un peu ému,

    je te redécouvre avec tes cicatrices

    secrètes, avec tes lassitudes, avec tes émerveillements et tes possibilités.

    Je me surprends à t’aimer, mon corps, avec des envies de te câliner,

    de te choyer ou te donner du bon.

    J’ai envie de te faire des cadeaux uniques, de dessiner des fleurs

    et des rivières sur ta peau,

    de t’offrir du Mozart, de te donner les rayons du soleil et de

    t’introduire aux rêves des étoiles.

    Tout cela à la fois dans l’abondance et le plaisir.

    Mon corps, je te suis fidèle.

    Oh, non pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

    Oui, j’ai découvert que tu m’aimais, mon corps.

    Que tu prenais soin de moi, que tu respectais ma présence.

    Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître,

    pour me laisser être,

    pour me laisser grandir avec toi !

    Combien d’accidents as-tu traversés pour me sauver la vie !


    Mon corps, maintenant que je t’ai rencontré, je ne te lâcherai plus.

    Nous irons jusqu’au bout de notre vie commune….

    Et quoi qu’il arrive, nous vieillirons ensemble. “

     

    Jacques Salomé

      

    Lettre à mon corps...

     

     

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    L'amitié c'est...

     


    L'amitié c'est savoir tendre l'oreille sans juger

     

    Ouvrir son coeur à l'autre, vraiment écouter

     

    Partager ensemble ses joies, ses peines et ses doutes

     

    Aimer sans arrière pensée, juste suivre la même route


    Trouver et prêter une épaule pour consoler


    Caresser une main par pure bonté


    Se faire des petites confidences


    Se comprendre et être en totale connivence


    C'est aussi rêver, sourire et rire


    Partager son bonheur et ses délires


    Attraper la main de son ami(e)


    Lui redonner ses ailes, le sens de la vie


    La vraie amitié, de jour en jour, s'épanouit


    Telle une rose mais sans jamais faner


    C'est comme un merveilleux jardin fleuri


    Où il fait tellement bon de se reposer.

     

    Texte trouvé sur le net

     

     

    L'amitié c'est...

     

     

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    Je me demande si tu serais fier de moi si...

        

    Je pense souvent à toi. 

    Et parfois, je me sens bête, je base mes décisions et mes actions en fonction

    de quelqu’un à qui je ne peux plus demander d’avis,

    je remets en question mes choix à cause de mots que j’entends seulement

    dans ma tête, que tu ne dis plus à voix haute.

     

    Je me demande où tu es maintenant. 

    Si tu joues aux cartes au paradis, si tu parles aux oreilles de tous

    les étrangers que tu rencontres là-haut,

    si tu remplis le ciel avec l’éclat de ton sourire.

     

    Je me demande si tu me regardes,

    si tu secoues la tête quand je fais quelque chose d’insensé,

    si tu ris quand je tombe sous le charme d’une personne stupide. 

    Je me demande si tu parles de moi aux autres anges,

    si tu racontes comment j’étais enfant, la personne que j’espère devenir.

     

    Je me demande si tu es fier de moi, si tu étais fier de moi si

    tu serais encore en vie.

     

    C’est long sans toi ici. 

    Je sais que je n’ai pas été la seule personne blessée par ta disparition. 

    Je sais que c’est égoïste de penser à mes souffrances quand on compare ce que

    tes proches ressentaient, et ressentent toujours.

     

    Mais parfois, quand je regarde les vagues s’écraser sur les rochers sur le rivage,

    ou que je suis les mouettes qui se cachent derrière les nuages quand je m’assois sur cette petite colline,

    je me demande ce que tu me dirais, si tu le pouvais.

     

    Je me demande si tu me dirais de continuer à écrire. 

    Je me demande si tu me dirais de me débrouiller et d’arrêter de m’inquiéter

    autant à propos de l’amour. 

    Je me demande si tu me serrerais dans tes bras pour me dire

    de parler plus souvent à Dieu.

     

    Je me demande si tu suis mes traces, si tu me pousses lorsque je suis

    à bout de forces.

    Je me demande, quand il pleut et que je me réveille au milieu de la nuit

    à cause des gouttes qui heurtent ma fenêtre,

    si tu me rappelles que je suis ici et que je suis aimé.

     

    Je pense à toi quand c’est nuageux. 

    Lorsque le ciel se prépare pour un beau coucher de soleil,

    mais que la couleur est cachée sous les nuages, j’attends patiemment.

     

    Je pense à quel point tu étais toujours calme, serein, même dans

    tes derniers instants. 

    Je pense à la façon dont tu avais l’habitude de me rendre dingue,

    mais combien c’est vrai, les petites choses nous manquent toujours

    quand elles ne sont plus là.

     

    Parfois, je me demande ce que tu penses de moi.  

    De mes couvertures étendues sur mon lit et des cahiers d’écriture en désordre

    qui remplissent toutes les étagères vides.

     

    Des relations que j’ai construites,

    des mots que j’écris parfois qui me paraît si proches que c’est comme

    si mon cœur faisait

    couler du sang sur la page.

     

    Je me demande si tu aurais lu ma poésie si tu étais encore en vie. 

     Si tu bougerais encore la tête en écoutant ma musique.

     

    Je me demande si tu me pardonnerais de ne pas t’avoir aimé autant

    que j’aurais dû quand tu étais là.

     

    J’espère que tu verrais combien je le fais maintenant.

     

    Certains jours comme aujourd’hui, j’écoute les voitures qui se précipitent

    dans les rues animées.

     J’ouvre mes stores et regarde les nuages ​​flotter paresseusement sur le ciel. 

    Je me rappelle que c’est la seule vie qui m’a été offerte,

    et qu’on ne m’a pas promis l’éternité

     

    Je me rappelle que ton temps sur cette Terre s’est écoulé,

    mais ton amour ne disparaîtra jamais. 

    Et je vais essayer de continuer à vivre comme tu l’as fait, de tout ton cœur,

    jusqu’à ton dernier souffle.

     

    J’espère honorer ta mémoire dans ma façon de vivre et d’aimer.

     

    Et j’espère te rendre fier, même si tu n’es plus là pour le voir.

     

    Source Je me demande si tu serais fier de moi si tu étais toujours en vie : thoughtcatalog.com

     

    Je me demande si tu serais fier de moi si tu étais toujours en vie...

     

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